Le CAM TCHINTCHIN, le tournoi de maracana ivoirien qui a conquis le cœur des passionnés de sport, est en pleine révolution. Sous la direction de Jonathan Morrison, l’événement fait l’objet de changements radicaux. Non seulement les prix des tickets ont été réduits de manière significative, mais les présidents des équipes ont été remplacés par des célébrités. Cette décision audacieuse suscite à la fois l’enthousiasme et la controverse parmi les supporters. Découvrez les coulisses de cette transformation sans précédent et les réactions passionnées des fans.
Le CAM TCHINTCHIN : Un tournoi ancré dans la culture ivoirienne
Le CAM TCHINTCHIN est un tournoi de maracana ivoirien qui s’est rapidement imposé comme un événement majeur. Organisé pendant les vacances, il rassemble les passionnés de sport et les jeunes des quartiers pour célébrer leur amour commun pour le maracana. À ses débuts, le tournoi était une affaire locale, où les jeunes des différents clubs de maracana s’affrontaient dans une ambiance familiale. Les présidents des équipes étaient des membres respectés de leur communauté, étroitement liés aux habitants.
Une réduction de prix qui divise les supporters
La décision de Jonathan Morrison de réduire le prix des tickets du CAM TCHINTCHIN, passant de 5000 F à 3000 F, a suscité des réactions mitigées parmi les supporters. Certains ont salué cette initiative comme une opportunité d’élargir l’accès à l’événement et de permettre à un plus grand nombre de personnes d’y participer. Cependant, un internaute a répondu à Jonathan Morrison, exprimant son désaccord et soulevant un point crucial.
La perte de l’essence communautaire
L’internaute a souligné que le véritable problème ne résidait pas dans le prix des tickets, mais dans le changement des présidents d’équipe. En confiant la présidence des clubs à des personnalités célèbres telles que Molare, Apoutchou, Yode et Siro, Debordo, Jonathan Morrison a bouleversé la tradition et l’engagement communautaire qui étaient au cœur du CAM TCHINTCHIN. Les anciens présidents, des jeunes des quartiers, étaient profondément impliqués dans leur communauté. Ils mobilisaient les habitants pour soutenir leur équipe, collectaient des fonds pour les joueurs et organisaient des activités solidaires. Le CAM TCHINTCHIN était alors considéré comme un événement familial et rassembleur, où les quartiers tout entiers se mobilisaient.
Un appel à la réflexion et au dépassement de l’orgueil
La réaction de l’internaute appelle Jonathan Morrison à mettre son orgueil de côté et à réévaluer ses choix. Il met en avant l’importance de préserver l’authenticité du tournoi, en faisant appel aux jeunes des quartiers, qui restent connectés avec la communauté locale. Le CAM TCHINTCHIN était autrefois une occasion pour les quartiers de se réunir, de soutenir leurs équipes, et de partager des moments de solidarité. Les critiques exprimées soulignent la nécessité de rétablir ces liens.
Le CAM TCHINTCHIN, célèbre tournoi de maracana ivoirien, se retrouve aujourd’hui au cœur d’une polémique. La réduction du prix des tickets, bien qu’appréciée par certains, a mis en évidence une problématique plus profonde : le changement des présidents d’équipe. Cette décision a éloigné l’événement de ses racines locales et a suscité des réactions de la part des supporters. Il est désormais temps pour Jonathan Morrison de prendre en compte ces préoccupations et de trouver un équilibre entre l’accessibilité de l’événement et le maintien de son authenticité communautaire. Le succès du CAM TCHINTCHIN repose sur son lien fort avec les quartiers, et c’est en préservant cet engagement local qu’il pourra continuer d’épanouir et d’amuser les participants lors des prochaines éditions.
